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Impitoyables

16.00

La notion de série noire en Franche-Comté prend tout son sens dans ce deuxième roman de Nathalie Michel, où l’amour et la mort se cotoient inexorablement sous le regard des Lieutenants, chefs d’orchestre impitoyables d’une Horde barbare. La Franche-Comté comme vous n’avez jamais osé l’imaginer.

Implacable

15.90

Karine a tout pour être heureuse. Un métier qu’elle aime, un mariage réussi, de nombreux amis, un mari qui s’investit dans son entreprise artisanale. Et l’arrivée de deux enfants. Mais tout dérape lorsque la jeune femme découvre l’infidélité d’Arnaud. À partir de ce moment-là, la vie du couple tourne au cauchemar. Karine s’enfonce dans une spirale infernale et morbide. Cette histoire nous transporte de la riante région de Vesoul et de ses environs vers les bas-fonds ténébreux de la capitale.

l’inconnue du parc

16.00

Antoine a réussi un tour de force : exercer des responsabilités de haut niveau dans une société leader en produits de beauté et épouser la fille du PDG. Pour un garçon issu d’une modeste famille de Franche-Comté, ce n’est pas si mal… Mais au bout de quelques années, il comprend que tout comme Icare qui s’était trop approché du soleil, il s’est brûlé les ailes au contact de cette caste outrageusement argentée. La plongée est si vertigineuse qu’il se retrouve SDF… Se pose alors la question : se laisser couler ou tenter de rebondir ?

La chaussette écarlate

16.50

Julia est maman célibataire. À l’approche de la première rentrée de la petite en maternelle, elle veut donner un papa à Clara. Comment faire? Céder aux avances d’un bon copain, fils de famille bcbg dont elle n’est pas amoureuse? Ou retrouver le père véritable qui a disparu à la suite d’une sordide affaire de meurtre à laquelle il est mêlé? Cette histoire, qui nous entraîne de Lyon à Montpellier, puis d’Islande au Liban, trouve son aboutissement en Franche-Comté.

La révolte des poules en bois

17.90

Manuéla connaît de graves désillusions familiales et professionnelles : elle décide de tout plaquer, son mari, son travail et Paris. Mais où aller et que faire quand on est une jeune femme qui a décidé de partir seule à l’aventure avec le strict minimum ? Commence une errance de plusieurs mois où elle découvre des univers insoupçonnés : un squat organisé comme un village africain, un château où Monsieur le Comte et Madame la Comtesse vivent les pages jaunies de leurs souvenirs, une abbaye dans laquelle elle court un grand danger, puis la riche villa d’une femme battue, épouse d’un notable d’une petite ville franc-comtoise. Le hasard finit par la conduire dans un hameau isolé tout proche, où elle s’initie à la vie de la campagne.

Le cercle des tueurs

15.00

Un homme poignardé dans le Parc de la Douce, un second chez lui rue Paul Langevin, un troisième qui n’a que dix-sept ans dans un square aux confins de Belfort… D’autres suivront. Tous ces meurtres sont mis en scène d’une manière particulière et la police est perplexe… Découvrir le lien existant entre les victimes permettrait de démasquer le ou les assassins. Mais l’enquête piétine et l’inquiétude enfle dans la ville…

Le complexe du prisme

16.00

Besançon. Commissariat central de la Gare d’Eau. Arrivant de Bergerac, la commissaire Marianne Bracq n’a pas le temps de se familiariser avec sa nouvelle équipe : le corps éviscéré d’une clocharde est découvert le jour même. Un tueur rôde dans la ville. Une image, une seule, a déclenché un flot de haine…. « Après avoir enfilé les gants et les surchausses que lui tendait le planton au sommet des marches, elle dévala l’escalier et se mêla aux hommes en blanc. Les projecteurs sur pieds étaient en cours d’installation en arc de cercle autour de la scène, alors qu’un paravent de plastique opaque masquait les lieux. Ils s’allumèrent au moment où l’équipe franchissait le cordon de sécurité. La puissante lumière blanche éclaira deux corps inertes…

Le mémorial des anges

17.00

Un psychiatre liquidé, un flic qu’on tente d’assassiner, une documentaliste qui passe de vie à trépas… L’activité de la division du SRPJ de Besançon est aussi tumultueuse que les eaux du Doubs en pleine crue. Lorsqu’un procureur obstiné leur met des bâtons dans les roues et qu’il faut travailler de concert avec la gendarmerie parce qu’une des victimes a eu l’excellente idée de se faire liquider en banlieue dijonnaise, rien ne va plus au commissariat de la Gare d’Eau… Une enqête où plus que jamais le passé est une clé et les apparences trompeuses.

Les liens décents

18.00

Sébastien, 37 ans, bisontin et architecte, entreprend les démarches afin d’obtenir la tutelle de son neveu Julien, 10 ans, qui vient de perdre ses parents. Des liens familiaux très forts, renforcés par son rôle de parrain, l’attachent à cet enfant et légitiment sa demande, mais rien n’est simple quand on est célibataire… et homosexuel de surcroît. Entre espoirs et déceptions, coups bas et hésitations de la juge des tutelles, s’entremêlent pages de vie des amis, homos ou hétéros, échanges intellectuels, témoignages et confidences sur le divan d’un psy.

Les secrets du cylindre

16.00

Julie vit à Lyon. Trentenaire, célibataire sans enfant, elle voue sa vie à sa passion : les étoiles. Le décès de son père la fait revenir en Franche-Comté. En guise de testament, ce dernier lui a laissé des « lettres-énigmes » qui la conduiront sur les routes de France vers une quête personnelle et philosophique. Au-delà du deuil, sa vie se trouve bouleversée. À l’image de ce médaillon offert par son père avant de mourir, elle reconstitue tel un puzzle les fragments de son histoire familiale aux secrets bien gardés…

Les yeux de l’ombre

15.00

Catherine vit un vrai conte de fées : une belle maison, un mari charmant, un magnifique petit garçon. Que pourrait-elle demander de plus ? Pourtant dans ce monde parfait, il y a comme une fêlure, minuscule au départ, qui, tel un animal nuisible, attend le moment pour grossir. Un sentiment de malaise s’installe, vite remplacé par de la peur. La véritable peur, celle qui vous empoigne et vous assiège. La bête est lâchée et tient sa proie.