1000 étangs meurtriers
15.00€Après la découverte d’un corps immergé, Nadine, épaulée de policiers parisiens vont être plongés dans l’horreur des jeux cruels d’une meute dévouée à une cause sanguinaire.
Après la découverte d’un corps immergé, Nadine, épaulée de policiers parisiens vont être plongés dans l’horreur des jeux cruels d’une meute dévouée à une cause sanguinaire.
Un homme poignardé dans le Parc de la Douce, un second chez lui rue Paul Langevin, un troisième qui n’a que dix-sept ans dans un square aux confins de Belfort… D’autres suivront. Tous ces meurtres sont mis en scène d’une manière particulière et la police est perplexe… Découvrir le lien existant entre les victimes permettrait de démasquer le ou les assassins. Mais l’enquête piétine et l’inquiétude enfle dans la ville…
Catherine vit un vrai conte de fées : une belle maison, un mari charmant, un magnifique petit garçon. Que pourrait-elle demander de plus ? Pourtant dans ce monde parfait, il y a comme une fêlure, minuscule au départ, qui, tel un animal nuisible, attend le moment pour grossir. Un sentiment de malaise s’installe, vite remplacé par de la peur. La véritable peur, celle qui vous empoigne et vous assiège. La bête est lâchée et tient sa proie.
Léon a été confronté à un choc sociétal. Moqué dans son enfance, il s’est muré dans le mutisme. Il mène une vie parfaitement atypique, se réfugiant le jour dans la littérature et ne sortant que la nuit. Aigri par cette société qu’il n’accepte pas, où la pauvreté, la précarité sont omniprésentes, il pense peu à peu être la réincarnation de Jean Valjean qui surmonta ses origines misérables pour devenir un héros discret. Il s’ensuit toute une série d’événements plus ou moins dramatiques, parfois comiques…
Cette histoire est aussi un prétexte pour redécouvrir le Paris des Misérables, montrer qu’une certaine société décrite par Hugo est encore bien présente de nos jours.
Karine a tout pour être heureuse. Un métier qu’elle aime, un mariage réussi, de nombreux amis, un mari qui s’investit dans son entreprise artisanale. Et l’arrivée de deux enfants. Mais tout dérape lorsque la jeune femme découvre l’infidélité d’Arnaud. À partir de ce moment-là, la vie du couple tourne au cauchemar. Karine s’enfonce dans une spirale infernale et morbide. Cette histoire nous transporte de la riante région de Vesoul et de ses environs vers les bas-fonds ténébreux de la capitale.
Sept cent trente mille euros dans le ventre d’un petit avion de tourisme qui s’est abîmé au large des îles Lavezzi, au Sud de la Corse ! Alex, accompagné de Géril et Cathie, se lancent dans une chasse au trésor.
Besançon. Commissariat central de la Gare d’Eau. Arrivant de Bergerac, la commissaire Marianne Bracq n’a pas le temps de se familiariser avec sa nouvelle équipe : le corps éviscéré d’une clocharde est découvert le jour même. Un tueur rôde dans la ville. Une image, une seule, a déclenché un flot de haine…. « Après avoir enfilé les gants et les surchausses que lui tendait le planton au sommet des marches, elle dévala l’escalier et se mêla aux hommes en blanc. Les projecteurs sur pieds étaient en cours d’installation en arc de cercle autour de la scène, alors qu’un paravent de plastique opaque masquait les lieux. Ils s’allumèrent au moment où l’équipe franchissait le cordon de sécurité. La puissante lumière blanche éclaira deux corps inertes…
La notion de série noire en Franche-Comté prend tout son sens dans ce deuxième roman de Nathalie Michel, où l’amour et la mort se cotoient inexorablement sous le regard des Lieutenants, chefs d’orchestre impitoyables d’une Horde barbare. La Franche-Comté comme vous n’avez jamais osé l’imaginer.
Julie vit à Lyon. Trentenaire, célibataire sans enfant, elle voue sa vie à sa passion : les étoiles. Le décès de son père la fait revenir en Franche-Comté. En guise de testament, ce dernier lui a laissé des « lettres-énigmes » qui la conduiront sur les routes de France vers une quête personnelle et philosophique. Au-delà du deuil, sa vie se trouve bouleversée. À l’image de ce médaillon offert par son père avant de mourir, elle reconstitue tel un puzzle les fragments de son histoire familiale aux secrets bien gardés…
Un homme crucifié contre la porte de la Citadelle de Besançon, bientôt suivi d’un second sur le fronton de la Porte Noire. La commissaire de police Nicole Desvignes est confrontée à l’enquête la plus compliquée et la plus périlleuse de toute sa carrière. Suspens, angoisse et rebondissements la mènent de Besançon à Pouilley-les-Vignes, de Dijon à Cavalaire-sur-Mer. Fabrice Pichon signe ici un premier roman policier tout à fait époustouflant.
Dans la brume matinale de début d’automne, le corps d’une jeune femme flotte à la surface d’un lac jurassien. Léa et clément, sportifs de haut niveau, sont les premiers témoins du drame.Les deux jeunes gens, troublés par leur découverte, s’intéressent à l’enquête menée par Elise Lefebvre, une jeune gendarme fraîchement nommée. Lorsque les morts suspectes se succèdent, la théorie du suicide est remise en question. Quelqu’un brouille les cartes et sème les cadavres sur son passage. Ne négligeant aucune piste, Elise et Léa s’obstinent à découvrir la vérité, au risque de mettre leur vie en danger.
Joël Rocheval, restaurateur bisontin, est catégorique, il n’a jamais rencontré la victime. Alors, comment peut-on trouver son ADN sur le corps d’une jeune prostituée sauvagement assassinée ? D’autre part, quel rapport y a-t-il entre son procès et le journal intime tenu par une adolescente en vacances dans l’Hérault une trentaine d’années auparavant ?