Boutique

Aurore et Samir

10.00

Coup de foudre entre deux enfants de 9 ans, de classes sociales opposées.

Aurore, fille de médecin, vit au centre-ville. Elle a un visage angélique, des yeux très bleus, des cheveux blonds. Elle est studieuse, curieuse, mais timide. Sa vie est organisée, sans surprises. Samir est d’origine maghrébine. Il vit dans la cité, loin du centre-ville. C’est un champion de skate-board. Il a la vivacité, l’audace, l’intelligence des enfants livrés à eux-mêmes. Sa vie est une aventure.

Choc des cultures, à priori, découverte pour chaque enfant d’un monde inconnu. Après bien des rebondissements, ce roman se termine par un happy-end, comme un conte.

L’homme transparent de la rue Léontine

15.00

Léon a été confronté à un choc sociétal. Moqué dans son enfance, il s’est muré dans le mutisme. Il mène une vie parfaitement atypique, se réfugiant le jour dans la littérature et ne sortant que la nuit. Aigri par cette société qu’il n’accepte pas, où la pauvreté, la précarité sont omniprésentes, il pense peu à peu être la réincarnation de Jean Valjean qui surmonta ses origines misérables pour devenir un héros discret. Il s’ensuit toute une série d’événements plus ou moins dramatiques, parfois comiques…

Cette histoire est aussi un prétexte pour redécouvrir le Paris des Misérables, montrer qu’une certaine société décrite par Hugo est encore bien présente de nos jours.

 

Les nénuphars empoisonnés

14.00

Pierre-Gérard est un célèbre expert en tableaux, amoureux des oeuvres impressionnistes. Ses compétences très sollicitées l’amènent à voyager dans le monde entier. Mais entre deux avions, il se ressource régulièrement dans la région de Besançon où il a fait l’acquisition d’un très beau château… C’est là que mûrit un projet fou. Pour le mettre en oeuvre, il se place sous la coupe d’une triade chinoise qui va l’entraîner dans une spirale infernale. Ce roman d’action qui nous emmène de Paris à Rome, de Londres à Shanghai, se déroule en grande partie en Franche-Comté.

Le cercle des tueurs

15.00

Un homme poignardé dans le Parc de la Douce, un second chez lui rue Paul Langevin, un troisième qui n’a que dix-sept ans dans un square aux confins de Belfort… D’autres suivront. Tous ces meurtres sont mis en scène d’une manière particulière et la police est perplexe… Découvrir le lien existant entre les victimes permettrait de démasquer le ou les assassins. Mais l’enquête piétine et l’inquiétude enfle dans la ville…

AINSI SOIT EVE !… des racines sur ses pierres

10.00

C’est mon grand-père qui m’a fait aimer le théâtre en m’emmenant tout jeune au Théâtre du Peuple à Bussang. C’est aussi lui qui m’a
parlé d’Eve Lavallière, dont la notoriété égalait celle de Sarah Bernhardt, enterrée pas très loin de Contrexéville, où je passais mes vacances
chez lui. L’histoire familiale du château de St Baslemont se greffant à celle d’Eve Lavallière et de son intrigant fils transgenre Jean-Jean m’ont
inspiré cette pièce où la fiction se mêle à la réalité.

Les détrousseurs de l’aube

14.00

Quels rapports peut-il y avoir entre les détrousseurs de l’aube qui s’attaquent aux fêtards sortant des cabarets parisiens, une petite camerounaise atteinte d’une grave malformation cardiaque et l’animatrice d’une célèbre radio locale ? L’action s’enclenche par le kidnapping d’Angéla arrachée de ses micros par un groupe armé et déterminé qui va l’entraîner dans une aventure imprévue où elle connaîtra tour à tour l’angoisse de sa situation d’otage, l’espoir de réussir son pari humanitaire, le rêve de retrouver une vie normale après ses démêlés avec la justice…

Les yeux de l’ombre

15.00

Catherine vit un vrai conte de fées : une belle maison, un mari charmant, un magnifique petit garçon. Que pourrait-elle demander de plus ? Pourtant dans ce monde parfait, il y a comme une fêlure, minuscule au départ, qui, tel un animal nuisible, attend le moment pour grossir. Un sentiment de malaise s’installe, vite remplacé par de la peur. La véritable peur, celle qui vous empoigne et vous assiège. La bête est lâchée et tient sa proie.